Michel Schneider a voulu témoigner d'un amour fort, celui de la star hollywoodienne, la sulfureuse Marilyn Monroe alias Norma Jean, et de son psychanalyste, Ralph Greenson.Longtemps accusé d'être son assassin, il aura épaulé l'actrice en lui donnant l'amour qu'il lui manquait. L'auteur revient ici sur une facette encore méconnue de la vie sentimentale de celle qu'on assimile plus facilement à John Kennedy.
"Chacun sans le savoir se fait le metteur en scène de l'autre. Chacun joue le rôle de ce qu'il ne savait pas être : lui un artiste, elle une intellectuelle. Chacun est finalement devenu le rêve de l'autre."
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